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  • Xavier Chezleprêtre / Attitude

Republica Ideal de Acapulco présente le clip "d'Atomic Lover"


Republica Ideal De Acapulco

"le phénomène nu-exotica"

Ep Mirage disponible en digital

En concert le 26 avril au Café de la Danse

Mambo, Cha cha cha, Bolero, Exotica, Republica Ideal de Acapulco embrasse et embrase tous les rythmes pour redonner vie au paradis perdu tel que le fantasmait Dean Martin quand il faisait le crooner latino. Aux manettes musicales Nicolas Repac (Arthur H, Mamani Keita...), à la voix la cubaine Yaite Ramos. L'ambition d'Acapulco : faire la fête, danser et sourire !

Republica Ideal de Acapulco est un résumé de la musique latine telle que Carmen Miranda l'avait incarné avant-guerre, à une époque d'insouciance.

Le projet Republica Ideal de Acapulco évoque Dean Martin et Martin Denny, Les Baxter et Arthur Lyman, rêvant des plages d'Acapulco, de casinos au bord de l'eau, l'élégance, les cocktails et les rythmes de nuit imaginaires dans des paradis fantasmés où la jungle n'est jamais loin.

Une expérience à retrouver sur un premier Ep, Mirage, et en concert au Café de la Danse le 26 avril !

La nuit tombe à peine, les hommes ont mis leurs smokings blancs, les femmes leurs robes légères, le vent est calme, bienvenue chez Acapulco ! Aux manettes musicales Nicolas Repac (Arthur H), à la voix et à flûtes la cubaine Yaite Ramos, Acapulco résume la musique latine telle que l’européenne Carmen Miranda l’avait incarnée dans les années d’avant guerre, années d’insouciance et de désirs. Mambo, cha-cha-cha, boléro, Acapulco embrasse et embrase tous les rythmes pour créer sa propre identité et redonner vie au paradis perdu tel que le fantasmait Dean Martin quand il se rêvait crooner latino.

Si la sensualité est intacte, avec le projet Acapulco, on est loin d’une simple nostalgie, la musique se veut vivante et en pleine modernité. Indifféremment chanté en espagnol, anglais ou français, l’ambition première est de faire la fête, danser, sourire. Loin de toute logique géographique c’est l'idée de plaisir et d’un luxe enfantin qui prédomine comme le fit en son temps l’américain Martin Denny pour qui on inventa le terme Exotica (du nom de l’un de ses morceaux) pour qualifier sa musique. Acapulco va plus loin et propose un nu-exotica, brassant toutes les images que l’on se fait de la langueur du monde latin, du Tiki au Malecon, en passant par les seins nus de Joséphine Baker. Acapulco est un joyeux melting-pot de cette ambiance aussi bien musicale que sociologique. Dans nos années un poil sombres, retrouver cette légèreté est une jolie mission qu’un producteur français (Loic Barrouk du Café de la Danse) a confié et imaginé au multi instrumentiste Nicolas Repac. Grand voyageur musical il a déjà visité l’Afrique avec son travail avec Mamani Keita. Le voici tel un pacha sur un paquebot débarquant à la Havane, pilotant ce projet avec la complicité de Yaité Ramos plus connu sous le nom de « La Dame Blanche ». La cubaine installée de longue date à Paris c’était fait connaître comme choriste de Sergent Garcia. Sa flûte traversière habille Acapulco d’une délicatesse très féminine. Pour parachever le tout le mixage fut confié à Jean Massicotte (Lhasa, Patrick Watson...). Retournez-vous lors d’un concert d’Acapulco, nul doute qu’Ernest Hemingway ne sera pas loin assis au fond de la salle, buvant un whisky de 30 ans d’âge. Le chic canaille d’Acapulco vous redonnera le sourire.

En concert le 26 avril au Café de la Danse


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