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  • Xavier Chezleprêtre / Attitude

Homa présente son nouveau clip "Maybe I Forgot What We Said"


HOMA

1er album

Sortie le 23 mars chez Octopus / Simple / Sony Music

Véritable révélation de la pop française, Homa dévoile Maybe I Forgot What We Said, nouvel extrait de son album sur lequel l'épure mélodique et la beauté des arrangements offrent un plaisir auditif sans pareil

Derrière Homa se cache l’artiste Alexandre Barberon. Marqué par ses études de pianiste classique, puis par la découverte de la pop et de la musique électronique, Homa invente son monde musical, à la fois futuriste dans ses ambiances, et classique dans sa maîtrise de la composition.

Son premier album révèle une belle collection de ritournelles égrenées au piano, mais ce sont surtout les omniprésentes sonorités électroniques qui imprègnent l’album d’une atmosphère ouatée qui rappellera quelques belles références à l’auditeur, notamment Air ou les titres les plus planants de MGMT.

Après le premier single The Taste Of Old Times dans lequel un mystérieux message était diffusé dans une ambiance d'Urbex hypnotique, Homa revient avec un second single Maybe I Forgot What We Said à découvrir en vidéo.

Apparaissant pour la première fois à l'image, Homa a choisi de porter une armure de chevalier, qu'une jeune femme lui retire lentement. Ce clip symbolise la destruction de la carapace, l'abandon et le don de soi, l'ouverture au monde, la confiance et l’espoir. Une quête initiatique que l’on retrouve comme l'un des thèmes majeurs de l’album.

Le premier single ultra-sensuel et hypnotique de HOMA, "The Taste of Old Times » est sorti le 27 octobre 2017 chez Simple (Sony Music). Annonçant la couleur du mini LP à paraitre le 23 mars, HOMA y dévoile sa voix : la musique sans parole du premier EP a laissé place aux chansons, quelque part entre Robert Wyatt et MGMT, Jean-Michel Jarre et Phoenix.

Entre univers rétro-futuriste assumé, langueur estivale, efficacité pop et questionnement métaphysique, la musique de HOMA s’adresse à chaque partie de votre être, le corps comme l’esprit.

Pour connaître un peu mieux qui se cache derrière ce patronyme, voici quelques informations essentielles : Alexandre Barberon est né de parents français à Port Chester, dans l’État de New York, le 18 mars 1985.

En 1988, à l’âge de trois ans, il s’ouvre le crâne sur un pot de fleurs pendant la leçon de musique de sa soeur : le téléphone à cadran sur lequel sa mère tente désespérément de pianoter 9-1-1 se couvre de sang tandis que les sirènes de l’ambulance font bientôt écho aux accords suspendus du piano, couvrant les plaintes de sa voix naissante.

Premier choc esthétique, première performance live.

En 2002 il fonde le groupe pop/rock "In furs", aka "Ellen pears", puis "Ranelagh" en 2005, bon, mais surtout, à partir de 2006, il plonge avec la ferveur des néo convertis dans l'étude de la musique classique. D’abord avec Sylvie Carbonel, puis avec Jeanine Boutin, pianiste-concertiste et élève de Messiaen. Il tombe amoureux de Scriabine. Alexandre devient un pianiste accompli à la sensibilité nourrie d’une grande culture musicale.

Sa rencontre en 2013 avec Etienne de Nanteuil (Octopus Production / Les Editions du Poulpe) signe le début du projet HOMA. En 2015 sort Google Only Knows, son premier EP, quasi intégralement instrumental. Les prémices du son HOMA sont déjà là.

La suite se joue au présent avec la sortie d'un premier album déjà salué par la critique, à découvrir avec les deux extraits vidéo The Taste of Old Times et Maybe I Forgot what we Said.


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