KVM envoie "Du Sale" avec son nouveau clip
- NEW KG
- 11 sept. 2020
- 3 min de lecture

KVM
Nouveau clip "Du Sale"
KVM est une artiste aux horizons multiples, et à l’ambition certaine.
A 24 ans, la jeune femme s’apprête à éclore, sous nos yeux. Mais cela fait déjà un certain temps que Camilia, de son vrai nom, couve et prépare KVM à sa rencontre avec le monde…
« Ma première direction artistique a été influencée par qui j’écoutais, et non qui j’étais vraiment. J’ai fait face à des difficultés et des remises en question quant à ce que je voulais vraiment faire et qui je voulais être artistiquement. Le titre « Du sale » représente la conclusion de cette introspection et symbolise surtout l’introduction d’un nouveau chapitre. »
KVM est cette artiste nourrie à la culture US (elle a vécu en Arizona et en Californie), également influencée par ses origines du nord de la France (elle a grandi à Roubaix), ses racines algériennes et son attachement au tissu familial.
« KVM : une chanteuse ? »
Oui… mais pas seulement !
La musique fait partie intégrante de sa vie depuis l’enfance : ses grandes sœurs jouaient chacune d’un instrument, sa mère chantait…
C’est logiquement que KVM a été inscrite au conservatoire dès son plus jeune âge. Elle y a joué de l’Alto, a été membre de l’orchestre, a fait du solfège…
Puisqu’elle a finalement toujours touché à tout, il n’est pas si surprenant de savoir qu’aujourd’hui elle chante, trappe, rappe, parfois toaste… KVM laisse s’exprimer les différentes facettes de sa personnalité au gré des beats qui lui sont proposés par Black Starz, Yamamusic, DJ Titai...
Que des grands noms du beatmaking français qui sentent bien que quelque chose se passe avec cette fille, également à l’aise avec l’écriture.
« Et c’est donc aujourd’hui que KVM se lance dans le grand bain ? »
KVM souhaite désormais chanter, se produire, partager, échanger. Délaisser les concerts privés face à sa glace, ou en petit comité…
« En fait, je ne pensais pas me lancer dans la musique.
En rentrant de Los Angeles, je devais poursuivre mes études, faire un master des Affaires internationales dans une école, emprunter une voie plus « classique »… mais le destin en a décidé autrement.
A mon retour, j’ai réfléchi à mon avenir et à ce que je voulais vraiment faire, c’est à dire la musique. Pour moi ce n’était qu’un rêve irréalisable... Puis je me suis dit qu’il fallait que je me lance, au moins essayer, pour ne pas avoir de regrets...
Puis voilà où ça m’a menée... 1ère vidéo... Booba... puis Abdoul. »
Tout est finalement allé très vite pour KVM !
Début 2019, elle publie une première vidéo sur Instagram (cover de « Going Bad » de Meek Mill et Drake), attire l’attention de Booba et de quelques artistes de renom qui la repostent.
Après s’être ainsi fait remarquer, KVM enchaîne avec de nouveaux covers, et quelques fois des compos originales.
Son medley passe la barre du million de vues sur Instagram !
Elle est alors contactée par SIGMA, monte à Paris, et enchaîne studio, écriture, enregistrement, tournage de clips…
Aujourd’hui, la voilà prête à se dévoiler aux dizaines de milliers de fans qui la suivent désormais sur les réseaux.
« Que peut-on du coup attendre de KVM ? »
KVM ne se pose pas de limites… KVM, c’est un flow et des mélodies RNB, des punchlines empruntées au rap, parfois accompagnées de rythmes plus pop, c’est de la douceur et de l’arrogance, du talent surtout.
C’est le point de rencontre entre Camilia, la travailleuse diplômée à la vie carrée, et son autre moi. Presque extravagante, mais jamais vulgaire. Passionnée de mode, mais jamais hautaine.
« J’ai toujours chanté : Beyonce, Rihanna... Mais j’ai également toujours été attirée par le rap, la trap, Nicki Minaj, puis Cardi du côté féminin. Lil’ Wayne, Lil Baby, Meek Mill, Rick Ross, Young Thug,… m’ont également beaucoup influencée ! »
Avec « Du sale », KVM nous dit qui elle est, où elle veut aller.
C’est une éclosion, et pourtant déjà une affirmation.
Agence Rise Up
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