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THE WOMBATS présente son nouveau clip "If You Ever Leave, I'm Coming With You"

Photo du rédacteur: NEW KGNEW KG

THE WOMBATS


NOUVEAU CLIP "IF YOU EVER LEAVE, I’M COMING WITH YOU"


DISPONIBLE



The Wombats sort aujourd’hui le clip de leur nouveau single electro-pop « If You Ever Leave, I’m Coming With You », qui sera diffusé en premier sur BBC Radio 1 ‘Future Sound’ avec Yungblud. Inspiré par les confinements et les épreuves relatives aux relations interpersonnelles, le clip nous montre un Murphy ‘Murph’ inconscient du chaos qui l’entoure.

« J’ai su que je voulais faire ce clip presque immédiatement après avoir entendu le morceau. Ça a fait sens, d’une façon limpide et en même temps surréelle. Le concept dégage une folie qui, je pense, colle parfaitement avec un titre aussi énergique que celui-ci. C’est l’une des meilleures expériences que j’ai eu en travaillant avec des artistes. » Logan Fields – Réalisateur



En prélude de leur 5ème album studio Fix The World, Not Yourself dont la sortie est prévue le 7 janvier 2022, le groupe de Liverpool dévoile If You Ever Leave, I’m Coming With You, un nouveau single aux rythmiques fédératrices et aux guitares tourbillonnantes, signature infaillible du trio britannique.

Faisant suite à la catharsis pure du dernier titre Method To The Madness, ce nouvel extrait s’annonce comme une ode électro-pop obsessionnelle.


« J’ai remarqué que les années 2020 et 2021 ont rendu difficiles de nombreuses relations interpersonnelles, j’avais l’impression que les personnes autour de moi galéraient vraiment. Pour moi, ce single touche à cette question de savoir si c’est la situation qui créée les tensions ? Ou si elle met juste en exergue des incompatibilités préexistantes ? » précise Murph.


 


Même après 18 années de dure labeur et d’écorchement émotionnel pour arriver au sommet, leur propre succès peut encore surprendre The Wombats. Tandis que le groupe s’adonnait à la création de leur cinquième album Fix Yourself, Not The World, le single Greek Tragedy de l’album Glitterbug devient viral, grâce à une nouvelle génération de TikTokeurs. Remixé par Oliver Nelson, les premières notes de cette nouvelle version ont été reprises dans plus de 600 000 vidéos sur la plateforme, certaines cumulant plus de 100 millions de vues : « We’re smashing mics in karaoke bars, you’re running late with half your make-up on ».

« Je crois qu’une influenceuse s’est filmée en train de danser et de chanter sur le premier vers, et de là ça à juste décollé, pour finir tout le monde s’y mettait, » explique Matthew « Murph » Murphy, chanteur, sur cette remontée soudaine et fulgurante, qui verra le remix dépasser les 30 millions de streams en écouté, et les 120 millions pour le titre d’origine (accompagné d’une certification Gold aux USA). En prime, le nombre d’auditeurs mensuels de la page du groupe du Spotify s’est vue croître de 2,4 millions depuis janvier 2021. « Quelqu’un m’a envoyé une vidéo de Charlie Puth qui le chantait en mangeant du granola. Les gens cherchaient à savoir d’où venait ce morceau. En fait, le remix était uniquement trouvé sur une vieille compilation de Hed Kandi. C’est plutôt cool des stars un peu hasard chantent quelque chose que j’ai écrit il y a longtemps, c’est vraiment super ce regain d’attention mais c’est tellement inattendu. »

Le succès du remix de Greek Tragedy est sans doute une preuve de plus de la capacité qu’ont The Wombats à rester d’actualité même pour des nouvelles générations de fans. Formé au Liverpool Institute of Performing Arts en 2003, ce trio guitare pop – Murph, bassiste Tord Øverland Knudsen et batteur Dan Haggis – ont explosé du Merseyside avec des hits comme Let’s Dance To Joy Division et Moving To New York. Ils se sont rapidement imposés dans cette période d’expansion pour le rock indé lors de la sortie de leur album fiévreusement mélodique A Guide To Love, Loss & Desperation. Les suites, This Modern Glitch (2011) et Glitterbug (2015), se sont aisément adaptés à la transition vers le stream, grâce à des singles playlistables à souhait, comme Tokyo (Vampires and Wolves), Techno Fan, 1996, Emoticons et leur arme secrète Greek Tragedy.

Le talent remarquable qu’à Murph pour mêler mélodies pêchues avec confessions sombres et absurdes – couplé avec l’ajout graduel de tonalités synthétiques et modernes – leur a permis de conquérir une toute nouvelle génération de fans, dont plus de la moitié ont moins de 24 ans. Des concerts et des sets de plus en plus impressionnants, comme au festival de Reading & Leeds, ou encore au Wembley Arena, attestent de leur renaissance régulière. « Wembley, c’était un de mes concerts préférés. » se souvient Murph, « Je suis très fier qu’on ait pu s’accrocher. Même si ça n’a pas toujours été facile, on a réussi à garder le cap et on en voit les bienfaits aujourd’hui... Je pensais que ce qu’on avait fait allait rester bloqué dans cette période rock indé des années 2000, mais des hordes de jeunes qui nous découvrent maintenant découvrent aussi nos vieux titres. » Ca n’est pas un testament à tes talents d’écriture ? « Je crois que c’est un mélange de travail et de rigueur, mais aussi avec le fait que musicalement on a toujours fait ce que l’on voulait faire. Je n’ai jamais rien changé pour être dans une lignée pour commerciale. J’aime les paroles bizarres, les titres chelous et les concepts absurdes. J’ai du mal à écrire des morceaux qui viennent d’un fond basique ou trop accessible. »


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