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  • Photo du rédacteurNEW KG

STRANGE AS ANGELS (Marc Collin ft. Chrystabell) présente son nouveau clip "Friday I'm In Love"


STRANGE AS ANGELS

Marc Collin (Nouvelle Vague) presents:


NOUVEAU CLIP “FRIDAY I’M IN LOVE”


EXTAIT DE "CHRYSTABELL SINGS THE CURE"


ALBUM A PARAITRE CE VENDREDI 18 JUIN


Ce vendredi 18 juin sortira Strange As Angels, le nouveau projet audacieux de Marc Collin, hommage au repertoire foisonnant de The Cure, en collaboration avec la divine Chrystabell (muse de David Lynch).

S’aventurer dans le labyrinthe musical de The Cure, il fallait oser ! La tête pensante de Nouvelle Vague l’a fait, avec la grâce et délicatesse qu’on lui connait. Avec la voix éthérée et magnétique de Chrystabell, les tubes de Robert Smith s’habillent ainsi de nouvelles textures sonores, aussi savoureuses que surprenantes !

En prémices de la sortie de l’album, découvrez le clip de Friday I’m in Love. Clin d’oeil au clip original et homemade de The Cure, ce plan séquence fait voyager le spectateur dans un univers en maquettes qui s’animent pour faire vivre la chanson, à la manière d’une boîte à musique géante.

Une déambulation poétique et onirique sous le ciel étoilé d’une ville lumière… Quoi de mieux pour incarner la romance?




Friday I’m in love est probablement le plus gros succès de The Cure, du moins aux États-Unis, mais étrangement je l’ai découvert des années après sa sortie. Il semble que lorsque Robert Smith explore ses côtés légers, c’est un succès ! J'ai modifié le tempo de la chanson en un rythme de valse, et mis un orgue de carrousel pour donner une sorte de conte de fées, une ambiance de music-hall. (Marc Collin)


 

STRANGE AS ANGELS

(KWAIDAN RECORDS)

Qui d’autre mieux que Marc Collin pouvait s’aventurer dans le labyrinthe musical des Cure ? La tête pensante de Nouvelle Vague s’y engouffre sur ce Strange as Angels, un voyage où il transcende le principe de la “cover”, à l’aide de la splendide voix éthérée de

Chrystabell, par ailleurs muse de David Lynch. Produite, arrangée et conçue par Marc Collin, cette collection de reprises de The Cure est savamment tissée, éclairée à la lumière crépusculaire si chère au fondateur de Nouvelle Vague.

C’est dans les recoins les plus mystérieux du post-punk, de la new wave et de la goth-pop que The Cure est parvenu à faire muer les musiques alternatives en étendard du “mainstream”. Sur quatre décennies, le groupe de Robert Smith a su créer un kaléidoscope de genres, une esthétique aux mille visages, offrant ainsi des contrées flamboyantes à explorer pour d’autres musiciens.





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